Historia jako możliwość buntu

Maria Solarska

Abstrakt


L’affirmation que l’histoire est un produit de la société (la culture) en cadre de laquelle elle est écrite — voilà le point de départ de la pensée proposée dans le texte présent. Pour la contemporanéité (le présent) — à quoi sert la déscription
de ce qui est passé? On peut dire tout simplement que la connaissance du passé est nécessaire, pour les sociétés dont la pensée est encadrée dans la triade: le passé — le présent — l’avenir, à la possibilité de comprendre ce qui nous entoure et de regarder dans l’avenir. Cet approche est resumé dans les questions banalisées: „d’où vennons-nous?” et „où dirigeons-nous?”. Les réponses à ces questions, dans le sens commun, doivent essquiser le point où nous nous trouvons et la direction vers laquelle nous nous dirigeons ou encore le but que nous visons. L’essentiel est justement de cerner la situation à l’entour de nous, ce point où nous nous trouvons
à présent. Une détermination de ce „où nous dirigeons?” peut se réaliser par l’essais de capturer les signes de ce qui est en train de venir. Mais une démarche de tel type signifie l’attente d’un inévitable et non pas une réflexion sur la direction d’un
changement éventuel. Cette dernière paraît cruciale pour penser le monde humain en tant que monde changeable par les forces humaines. Pour rendre ce possibile il faut garder une distance critique à ce qui se passe devant nos yeux. L’histoire (le discours historique) fait le possible — elle rend possibile de voir nos évidences (aussice que nous parrait naturel) comme non évidentes parce qu’elle montre des mondes qui ont disposé les autres ensembles des évidences (des naturalités) existantes. Le chagement qui est au centre de l’intérêt de l’histoire montre la contingence d’ordre des choses contemporain et son non nécessité dans l’avenir. Ainsi il est possible de diagnoser l’état présent et de prendre la décision d’être en accord ou en desaccord avec lui. Si nous admettons que l’histoire peut avoir une dimension révoltante, c’est-à-dire rendre possible une critique de l’état existant, un désaccord avec lui et/ou une révolte contre lui, il faut regarder de plus proche de quelle révolte s’agit-il ? Comprenant une révolution comme la forme extrême de la révolte, on réfléchit sur des liens entre l’histoire (le discours historique) et la révolution. Il ne s’agit pas pourtant de suivre l’histoire de la révolution, mais il s’agit de la réflexion sur la question à
laquelle révolution puisse faire l’appel l’histoire ou laquelle elle puisse réaliser. Les points principaux de réference de la pensée présentée sont les textes de Hannah Arendt Essai sur la révolutionet les deux cours de Michel Foucault publiés dans le tome « Il faut défendre la société ». L’analyse eff ectuée par Arendt sur la révolution et ses conséquences pour la façon de penser de monde et l’action politique dans son cadre, constitue notre point d’intérêt central. L’élément important de cet approche concerne la distinction de la libération et de la liberté, aussi que l’instauration de la Révolution française en tant que modèle de la révolution en général, même si, de point de vue d’Arendt, c’est plutôt laRévolution américaine qui aurait satisfée les attentes liées à l’établissement de la liberté. Par contre Foucault en analysant le discours de la lutte des races et en interrogeant la possibilité de la révolution montre
le mécanisme de la neutralisation du discours de résistance par le discours dominant. Il indique aussi deux types du discours historique — le discours de l’histoire et celui de contre-histoire — qui remplissent deux fonctions diff érentes dans la société. Tant que le premier est le discours de pouvoir — le récit qui sert à sa légitimination et à son renforcement — le deuxième est la contestation de ce pouvoir. C’est justement
le discours de contre-histoire ouvrait le champ pour l’apparition de l’idée de la révolution par départ de la vision de la société imprégnée par la guerre et de l’appel à la révolte contre ce qui se montre comme ordre de pouvoir établi. Ainsi la contrehistoire rend possible la révolte, le désaccord avec la configuration sociale présente en démasquant le fait que ce pouvoir a été imposé et qu’il n’est pas « l’état naturel ».

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